1791 – Gironde divisé en 7 Districts et en 72 Cantons – Bassin d’Arcachon, Passe du Nord, Isle de Matoc, Bassin du Pilat, Fort Cantin, La Teste de Buch, Cazau, Etang de Cazau, Gujan, le Teich, Ruat, Leyre, Mios, Salles, Beliet, Belin, le Barp, Argenteyres, Biganos, Comprian, Audenge, Lanton, Andernos, Ares, Ignac, Lège, le Porge

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1791 – Gironde divisé en 7 Districts et en 72 Cantons

A Paris, au bureau de l’atlas national, rue de la Harpe n°26

Bassin d’Arcachon, Passe du Nord, Isle de Matoc, Bassin du Pilat, Fort Cantin, La Teste de Buch, Cazau, Etang de Cazau, Gujan, le Teich, Ruat, Leyre, Mios, Salles, Beliet, Belin, le Barp, Argenteyres, Biganos, Comprian, Audenge, Lanton, Andernos, Ares, Ignac, Lège, le Porge

1790 : création du département de la Gironde, sous le nom de département du Bordelois dans le décret du 16 février 1790 puis avec son nom définitif dans le décret de l’Assemblée nationale du 26 février 1790 [de 1793 à 1795, il s’appelle département du Bec-d’Ambès] avec sept districts : Bazas, Blaye, Bordeaux, Cadillac, Lesparre, Libourne, La Réole

1800 : création des arrondissements : Bordeaux, Bazas, Blaye, Lesparre, Libourne, La Réole

1926 : suppression des arrondissements de Lesparre et La Réole

1926 : la sous-préfecture de Bazas est déplacée à Langon

1942 : restauration de l’arrondissement de Lesparre sous le nom d’arrondissement de Lesparre-Médoc

2006 : modification des limites des arrondissements de Blaye, Bordeaux, Langon et Lesparre-Médoc

2007 : création de l’arrondissement d’Arcachon

Le 4 mars 1790, publication des Lettres-patentes du Roi, sur décrets de l’Assemblée nationale des 15 janvier, 16 et 26 février 1790, qui ordonnent la division de la France en 83 départemens… dont 4 pour le Bordelois, Bazadois, Agénois, Condomois, Armagnac, Chalosse, Pays de Marsan et Landes.

[…]

Dans toutes les démarcations fixées entre les Départemens et les Districts, il est entendu que les villes emportent le territoire soumis à l’administration directe de leurs Municipalités, et que les Communautés de campagne comprennent de même tout le territoire, tous les hameaux, toutes les maisons isolées dont les habitans sont cotisés sur les rôles d’imposition du chef-lieu.

Lorsqu’une rivière est indiquée comme limite entre deux Départemens ou deux Districts, il est entendu que les deux Départemens ou les deux Districts ne sont bornés que par le milieu du lit de la rivière, et que les deux Directoires doivent concourir à l’administration de la rivière.

1790 – Gironde – Bassin d’Arcachon, La Teste de Buch, Etang de Cazau, Eyre R., Belin

Carte du département de la Gironde divisée en sept districts et en 72 cantons

au dépôt de l’Atlas national rue de la Monnaye n°5. Longitude de l’Isle de Fer et longitude occidentale de Paris s.n., s.l., s.d. [1790] (AD Gironde, 10 J 143).

https://archives.gironde.fr/galerie/galerie/images/24/n:253/visu:binocle/#id:387?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00&center=1224.000,-1632.000&zoom=4&rotation=0.000

La division du Royaume en Départemens et en Districts n’est décrétée, quant à présent, que pour l’exercice du Pouvoir administratif ; et les anciennes divisions relatives à la perception des impôts et au Pouvoir Judiciaire, subsisteront jusqu’à ce qu’il en ait été autrement ordonné par l’Assemblée. Les dispositions relatives aux villes qui ont été désignées comme pouvant être siège de Tribunaux, sont subordonnées à ce qui sera décrété sur l’Ordre Judiciaire.

[…]

Département de la Gironde

L’Assemblée de ce Département se tiendra dans la ville de Bordeaux.

Il est divisé en 7 Districts, dont les Chefs-lieux sont : Bordeaux, Libourne, la Réole, Bazas, Cadillac, Bourg ou Blaye, Lesparre.

L’Assemblée de Département proposera de fixer quelques Établissemens dans la ville de Sainte-Foi, et dans celle de Castel-Moron-d’Albret.

Les Électeurs du District, dont le Chef-lieu est indiqué à Bourg ou Blaye, s’assembleront à Bordeaux, et y délibéreront sur la fixation du Chef-lieu de ce District, à Bourg ou à Blaye, et sur le partage des autres Établissemens entre ces deux villes.

Les Électeurs des paroisses du Fronsadois ne seront point admis à cette délibération, et ces paroisses ont l’option de s’unir au District de Libourne – ou de rester à celui de Bourg ou de Blaye.

[…]

Mandons et ordonnons à tous les Tribunaux et Corps administratifs et Municipalités, que les présentes ils fassent transcrire sur leurs registres, lire, publier et afficher dans leurs ressorts et Départemens respectifs, et exécuter comme Loi du Royaume.

En foi de quoi Nous avons signé et fait contresigner cesdites présentes, auxquelles Nous avons fait apposer le Sceau de l’État.

À Paris, le quatrième jour du mois de Mars, l’an de grâce mil sept quatre-vingt-dix, et de notre règne le seizième.

Signé LOUIS.

Et plus bas : Par le Roi de Saint-Priest

Visa : l’Archevêque de Bordeaux

Et scellées du Sceau de l’Etat

Dans les trois arrondissements décrits les derniers, savoir Bazas, Bordeaux et Lesparre, se trouve cette longue bande de landes qui, partant des limites est du canton de Captieux, passe au sud de Bordeaux, à plusieurs kilomètres de cette ville, et va se perdre à l’ouest dans l’Océan, à la Pointe-de-Grave. C’est la ligne la plus étendue du département, qu’il partage de l’est-sud-est au nord-nord-ouest, ayant une étendue de 168 kilomètres, embrassant landes, forêts, étangs, dunes, etc., occupant une surface qui peut être évaluée à plus de 280 000 hectares.

Il n’existe réellement de landes dans le département de la Gironde, avec la nature qui leur est propre, que dans les trois arrondissements déjà cités Sables très-déliés, courtes bruyères, maigres fougères ; de loin en loin des touffes d’herbes nues, et un sous-sol avec une couche d’alios ou tuf, toujours compacte, impénétrable à l’eau, qui, manquant de pente suffisante pour son écoulement, transforme souvent ces vastes espaces en lagunes, surtout lorsque l’hiver a été pluvieux ; ce qui ajoute l’insalubrité de l’air, à l’infertilité du sol.

Les dunes ou « piquey », dans l’idiome local, qui forment la ceinture du département, du nord au sud, depuis l’embouchure de la Gironde jusqu’après le bassin d’Arcachon, sont produites par les sables que la mer vomit incessamment sur la côte et qui sont amoncelés par l’action du vent d’ouest.

D’après Jouannet, « vues de loin, elles ressemblent à une longue ligne de nuages éclairés par le soleil. Leurs masses groupées au hasard et découpées comme ces vapeurs mobiles, prêtent à l’illusion. De près, ce sont des rampes sans verdure, d’un blanc légèrement jaunâtre, nues et arides. C’est surtout quand ou pénêtre au milieu et qu’on les contemple de leurs plus hauts sommets, qu’elles se montrent dans toute leur horreur. Alors, selon l’expression de l’homme qui les a le mieux observées et qui de plus a arrêté leur marche envahissante (l’ingénieur Brémontier), cette immense surface, comparable a celle d’une mer en fureur, dont les flots élevés seraient subitement fixés dans le fort d’une tempête, n’offre aux yeux qu’une blancheur qui les blesse, une perspective monotone, un terrain montueux et nu, enfin un effrayant désert qui attriste l’âme et la porte à la méditation. » Telle a été notre propre impression en contemplant ces étonnants phénomènes.

La hauteur de ces montagnes varie de trente à quatre-vingt-neuf mètres au plus ; leur largeur ordinaire est de quatre à cinq mille mètres, et leur étendue, mesurée sur la carte de l’état-major, est de cent vingt-deux mille mètres dans le département, moins les 4 kilomètres d’ouverture du bassin d’Arcachon.

Grâce au génie et à la persévérance de Brémontier, son œuvre commencée en 1786, après bien des traverses, continuée mollement après lui, et durant la première partie de ce siècle, a été reprise avec une constante sollicitude, au nom du gouvernement, par l’Administration supérieure, et maintenant les communes qui avoisinent les dunes n’auront plus à s’effrayer de leur mobilité, car elles sont stables à leur place et fixées par les semis. Les derniers travaux pour les quatre mille cent cinquante-cinq hectares qui restaient à ensemencer ont été adjugés et sont en voie d’exécution.

1817 – Carte cantonale, Donnet

Carte cantonale de la France dressée par ordre de Son Excellence Le Ministre des Finances, sous la direction de M. le Ch[evalli].er Hennet, Commissaire Royal du Cadastre ; par Alexis Donnet (17..?-18.. ; géographe)…. 1 : 1 250 000 ; J. Alexis Orgiazzi (17..-1839?) sculps ; A. Pelicier (17..-18..? ; graveur).

Limites des départements et des cantons.

Sujet : Divisions politiques et administratives

À la chute de l’Empire en 1815, la France est réduite à 86 départements ; les trois départements supplémentaires par rapport à ceux de 1790 sont : le Vaucluse, le Tarn-et-Garonne construit sur des portions de départements voisins et la Loire issue du département Rhône-et-Loire qui devient le Rhône.

Le suffrage censitaire caractérise la Restauration et la monarchie de Juillet, au point qu’on a pu réunir ces deux régimes sous l’appellation commune de monarchie censitaire[1]. On sait, en effet, que la Charte de 1814 exige le paiement d’une contribution directe de trois cents francs pour être électeur et que celle de 1830 renvoie à ce sujet à une loi ordinaire qui maintient une condition encore très élevée de deux cents francs. On peut néanmoins douter que les justifications théoriques de ce suffrage censitaire sont identiques dans les deux cas. Dans le premier, le principe de la souveraineté du peuple qui a prévalu sous la Révolution est résolument écarté. Aussi, ainsi que l’explique fort bien alors Becquey, « pour être fidèle à la Charte, il fallait ne pas se soumettre aux théories qu’elle n’admet pas, et lorsque nous avons reconquis la monarchie, le système électoral ne peut pas être fondé sur des principes anti-monarchiques[2] ».

Dans le second cas, au contraire, la souveraineté du peuple est rétablie : bien que certains regrettent que cela ne soit pas dit plus explicitement dans la nouvelle Charte, l’unanimité se fait sur ce point car, selon la réponse péremptoire de Dupin aîné, cela a été clairement et suffisamment affirmé par la Chambre des députés le 7 août 1830, en déclarant « que selon le vœu et dans l’intérêt du peuple français, le préambule de la Charte constitutionnelle est supprimé, comme blessant la dignité nationale, en paraissant octroyer aux Français des droits qui leur appartiennent essentiellement[3] »

 

Alexis Donnet, géographe attaché au Cadastre, est à l’origine d’une abondante œuvre cartographique souvent rééditée. À ses cartes de France et des environs de Paris s’ajoutent des cartes d’Italie et de la péninsule ibérique, et des cartes concernant les nouvelles lignes de chemins de fer.

Élève de Bacler d’Albe.

 

https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b53100219p.r=donnet?rk=557942;4

https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b53029144r.r=donnet?rk=450646;0

https://francearchives.fr/article/256318841

https://www.cairn.info/revue-francaise-d-histoire-des-idees-politiques1-2013-2-page-241.htm

[1]Histoire des institutions…, Jean-Jacques Chevallier.

[2] – Archives parlementaires, Becquey, 22 février 1816, , t. 16, p.…

[3] – Cf. Dupin aîné, 7 août 1830, A. P., t. 63, p. 68

Situation générale du département de la Gironde (en 1862)

Ce département, le premier par l’étendue et le cinquième par la population, forme le diocèse de Bordeaux, auquel celui de Bazas a été réuni en 1792. Depuis sa fondation, c’est-à-dire dans l’espace de 1551 ans, ce siége a été occupé par 74 prélats, et celui de Bazas par 62.

Aujourd’hui, le diocèse de Bordeaux renferme 8 cures de première classe, 70 cures de deuxième classe, 400 succursales, 99 vicariats. 577 en total.

Il existe de plus, dans le département, trois chefs-lieux de consistoire de l’Église réformée (culte protestant), Bordeaux, Gensac et Saint-Foy, et 20 temples ou chapelles pour les besoins de ce culte.

Et pour le culte israélite, un consistoire et une synagogue à Bordeaux.

Ce département fait partie de la 14e division militaire, dont Bordeaux est le chef-lieu. Du 6e grand commandement militaire, ses côtes maritimes sont comprises dans le 4e arrondissement maritime et sont éclairées de nuit par neuf phares, dont trois de premier ordre, trois de quatrième ordre et trois feux flottants sur pontons.

Il renferme, de plus, une Cour d’appel, ayant dans son ressort la Dordogne et la Charente. Six tribunaux de première instance (un par arrondissement), trois tribunaux de commerce Blaye, Libourne et Bordeaux.

Enfin, Bordeaux est le chef-lieu d’une Académie universitaire, s’étendant sur la Dordogne, le Lot-et-Garonne, les Landes et les Basses-Pyrénées, dont les divers établissements d’instruction, depuis le haut enseignement des facultés jusqu’à celui de l’humble salle d’asile, sont donnés à la haute surveillance d’un Recteur et de ses subordonnés.

Et pour exciter le goût des lettres et entretenir l’amour de l’étude, des bibliothèques publiques sont établies dans plusieurs villes et communes du département, et comme celle de Bordeaux, qui seule renferme 130 000 volumes, elles sont ouvertes avec empressement à quiconque veut s’instruire.

Tableau detaillé de la division actuelle du département.

Arrondissement de Bazas

(7 cantons, 71 communes, 54.966 habitants.)

[…]

Arrondissement de Blaye

(4 cantons, 56 communes, 58.926 habitants.)

Arrondissement de Bordeaux

(13 cantons, 157 communes, 343.993 habitants.)

Canton d’Audenge 7 communes, 7.659 habitants : Andernos, Arès, Audenge, Biganos, Lanton, Lège, Mios.

Canton de Belin 5 (ou 6 ?) communes, 9.932 habitants : Barp, Belin, Belliet, Lugos, Saint-Magne, Salles.

Canton de Blanquefort, […].

Canton de Bordeaux  […].

Canton de Cadillac […].

 

Canton de Carbon-Blanc […]

Canton de Saint-Ciers-Lalande […]

Canton de Sait-Savin […]

Canton de Castelnau 19 communes, 16872 habitants : Arcins, Arsac, Avensan, Brach, Cantenac, Castelnau, Cussac, Labarde, Lacanau, Lamarque, Listrac, Margaux, Moulis, Porge, Sainte-Hélène, Salaunes, Saumos, Soussans, Temple.

Canton de Créon […]

Canton de Labrède […]

Canton de Pessac […]

Canton de Podensac […]

Canton de Saint-André-de-Cubzac

Canton de La Teste 4 communes, 8245 habitants : Arcachon, Gujan, La Teste, Le Teich.

Arrondissement de La Réole (6 cantons, 103 communes, 52.348 habitants) […]

Arrondissement de Lesparre (4 cantons, 29 communes, 41.793 habitants) […]

Arrondissement de Libourne (9 cantons, 132 communes, 115.154 habitants) […]

Aujourd’hui, le département de la Gironde compte 33 cantons depuis le redécoupage cantonal de 2014, répartis entre six arrondissements. (Carte : Découpage cantonal aujourd’hui du département de la Gironde, avec en surimpression les arrondissements en nuances de bleu)

Entre 1982 et 2014 le département a compté jusqu’à 63 cantons.

 

https://www.unicaen.fr/mrsh/bibagri2/carte-atlas/gironde

https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k97515569/f6.item.r=%227%20districts%22

Compte-rendu des travaux de la Commission des monuments historiques du département de la Gironde pendant l’année … : rapport présenté au préfet de la Gironde par MM. Rabanis, président, et L. de Lamothe, secrétaire, 1862

https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k102432r/f129.item.r=districts%20gironde%2272%20cantons%22

 

Carte tirée de l’Atlas national portatif de la France_ Destineéa l’instruction publique, composé de 93 cartes et d’un Précis Méthodique et Élémentaire, Pierre-Grégoire (ou Gilles) Chanlaire 1758-1817

On doit au géographe Pierre Gilles de Chanlaire de nombreuses et importantes études géographiques et statistiques parfois rédigées avec d’autres spécialistes Pierre Grégoire, en réalité Pierre Gilles ainsi qu’il résulte de son acte de naissance enregistré à Wassy le 21 juin 1758, est le fils de Pierre Gilles Chanlaire (1728-1803), conseiller du roi, procureur des Eaux et Forêts et de Marie Thérèse Gantois (1737-1817).

On ne connaît pratiquement rien de la vie de Pierre Gilles Chanlaire. Tout juste sait-on qu’il était attaché au bureau topographique du cadastre. Mais il semblerait que ce soit une vocation tardive. Il est dit écuyer, puis avocat au Parlement de Paris en 1780. La Révolution l’aurait incité à changer d’orientation et à apprendre la géographie. Sous le Consulat, Chanlaire travaille à l’Administration générale des forêts sous les ordres de l’administrateur Chauvet ; il y est chargé du cadastre. Il est chargé de la formation des arrondissements forestiers et des aménagements des forêts. Il est l’auteur de l’Instruction pour les arpenteurs forestiers du 9 frimaire an X (30 novembre 1801) qui prévoit l’uniformité de disposition des plans forestiers.

De 1803 à 1808, il est directeur du cours de géométrie et du bureau topographique du Cadastre. Il codirige la revue Annales forestières parue de 1808 à 1816.

Pierre Gilles Chanlaire décède le 8 mars 1817  Paris, à l’âge de 58 ans. Marié le 26 avril 1787 avec Angélique-Emilie Vermeil (1769-1838), celle-ci lui donna deux enfants:

Angélique-Claire Chanlaire (10 mai 1788 Paris – 9 septembre 1877) qui épouse Ferdinand Fossé (1780-1864) conseiller référendaire à la cour des comptes.

Pierre-Gilles Chanlaire (?- 23 décembre 1870 Cannes) officier des eaux et forêts

https://books.google.fr/books?id=lIuID3yKxRoC&pg=PT31&lpg=PT31&dq=%22Gironde+divis%C3%A9+en+7+Districts+et+en+72+Cantons%22&source=bl&ots=RJBAKOjtM4&sig=ACfU3U0XWUGut88An6DjJ9SLUYDeZdRspQ&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwiX1-q82JvxAhXy5eAKHSIwBPkQ6AEwAHoECAIQAw#v=onepage&q=%22Gironde%20divis%C3%A9%20en%207%20Districts%20et%20en%2072%20Cantons%22&f=false

https://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre-Gilles_Chanlaire

http://bio52.blogspot.com/2011/10/un-geographe-meconnu.html

Voir sur place, bibliothèque de Bordeaux, Carte du département de la Gironde en six arrondissements et quarante huit cantons 1790

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Raphaël

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