Un article de Sud Ouest nous rappelle l’horreur de ce « Train du zèle Nazi » appelé le train fantôme compte tenu des circonstances et des itinéraires invraisemblables, des détenus qui meurent de soif et de l’acharnement de la gent SS à emmener coûte que coûte ces ultimes déportés vers une mort programmée.
Dans ce train, qui part de Toulouse le 3 juillet 1944 arrive à Bordeaux le 9 juillet et en repart début août, se trouve un résistant Arcachonnais arrêté peu avant sur dénonciation. Il se nomme François Campet. Il est né à Lugos le 13 décembre 1895. Il mourra à Melk en Autriche le 25 février 1945.
La plaque commémorative des résistants Arcachonnais, morts en déportation, ainsi qu’un nom de rue portent son nom à Arcachon.
En vérifiant, sur le monument aux morts de Lugos, que son nom n’y figurait point, je me suis demandé à partir de quel moment on est un « enfant » de la commune ?
François Campet, résidant à Courlouze, a dû « émigrer » assez tôt vers Saugnac-et-Muret et Arcachon où François est dans la police au moment de son arrestation.
http://aquilugos.canalblog.com/archives/2009/08/28/14880634.html
http://aquilugos.canalblog.com/archives/2010/05/19/17945624.html
Effectivement..Il s agit de la Rue des Écureuils où est né mon papa. En 45, a fait partie de la Brigade Carnot qui a participé à la libération du Médoc.