1625 – Monde, Jean Guérard – Arcanson / Arquenson

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Jean Guérard est un navigateur et cartographe. En 1612, il navigue lors de l’expédition de Daniel de La Touche, financée par François de Razilly vers le Brésil avec un autre navigateur Nicolas de Harlay de Sancy dans le cadre de la colonisation de la France équinoxiale. En 1615, il enseigne l’hydrographie à l’École de cartographie de Dieppe et fait des observations sur la déclinaison de l’aiguille magnétique. Il est également l’examinateur pour le brevet de pilote de navire.

1625 – Monde Jean Guérard

De ce célèbre cartographe Dieppois, outre le traité d’hydrographie de 1630, sept cartes et un manuscrit décrivant les côtes de France nous sont parvenus et conservés au musée de Dieppe. La plus connue est sans doute la Carte universelle de 1634. Le Château-Musée de Dieppe possède l’original du portulan de 1633 et quelques copies comme la « Nouvelle Description hydrographicque de tout le Monde Carte faitte en Dieppe par Jean Guerard l’an 1625 » ;

 Arquenson ?

la mention d’Arcachon semble y figurer mais est difficile à déchiffrer….

Échelles des latitudes (latitudes croissantes) sur les bords de la carte et sur le méridien d’origine qui passe par les Îles du Cap Vert, et échelles des longitudes sur les bords de la carte et sur l’équateur. Indication des parallèles de cinq en cinq degré, de l’équateur, des tropiques et des cercles polaires. Un système de rhumbs de 388 mm de diamètre à 16 centres secondaires ; deux roses des vents et deux demi-roses.

Côtes cernées de rose ou de vert. Représentation schématique des principaux fleuves et de quelques chaînes de montagnes. Figuration au large de Terre-Neuve du « Grand banc au mollues » et d’un volcan en « Ysland ». Représentation de la Muraille de Chine et de la ville de « paquin ».

En haut, titre courant. Dans le coin gauche « Plan de la ville de Dieppe » en vue cavalière. À côté, encadré de branches de feuillage, un canevas de latitudes croissantes de 0° à 60° pour l’hémisphère Sud.

La table de droite supporte les armes du président de Lozon encadrée de deux amours ; la table de gauche supporte une sphère armillaire[1] entourée d’astres et surmontée d’une banderole où s’inscrivent la signature et la date.

 

Nouvelle Description hydrographicque de tout le Monde, Carte faitte en Dieppe par Jean Guerard (15..-1640). Cartographe l’an 1625

https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb40611771d

https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b59725354/f1.item.r=Jean%20Guerard%20l’an%201625

Jean Guérard est également chargé de décrire les côtes et hauteurs des îles de France de Calais à Saint-Jean-de-Luz ; en 1627, il réalise la carte « hidrographique » des côtes françaises.

 

Description hidrografique de la France. Carte faitte en Dieppe par Jean Guerard

Arcanson Arcanson

 

1627 – Description hidrografique de la France. Carte faitte en Dieppe par Jean Guerard (autre version)

Arquenson (cartouche)

Carte conservée à la Bibliothèque Nationale. Département des Cartes et Plans. La carte des côtes de France est un vélin aux armes du président de Lozon, Conseiller au Parlement de Paris, puis Président du Grand Conseil. La signature et la date sont enroulées. Des sondes apparaissent en plusieurs endroits, sondes complétées par une figuration des courants de fond expliquée par une légende à droite de la feuille. Douze lignes de hauts-fonds forment des fleuves désignés par les lettres de A à M.

https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b53064880s/f1.item

https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b5906243z/f1.item.zoom     

En 1630, il publie le « Traité d’hydrographie »

Dans ce manuscrit, il détaille le système de représentation cartographique de la Rose des vents.

En 1645, « Le Traité de l’Astrolabe » reprendra le système de Jean Guérard.

 

Rose des vents

Le marteloire avec ses lignes de rumbs est peu lisible sur cette rose des vents à 32 rumbs.

Les cartes universelles comme aussy quelques particulières sont marquez par trente deux lignes tirées d’un point et d’intervalles esgaux lesquels on appelle communément rumbs de vent qui se pratiquent grandement en la navigation, ou pour les recongnoistre et discerner l’on les descript aux cartes scavoir les principalles lignes de rumbs de vents de noir, les autres huit lignes de vert et les autres seize vents de rouge, et ce tant par les francois, portugais, Anglois, holandois et les autres nations. Il faut notter que les premiers mariniers n’usoient que de quatre vents en leur navigation, lesquels ils scituèrent les quatre principales parties du monde le premier desquels qui vient devent fut nommé Selere Subsolane et Apelicote à présent il est nommé Est par les mariniers de la mer oceane, mais Levante par ceux de la mer mediteranée, le deuxiesme qui vient de la partie occidentale opposite au precedent fust appellée, Fallone Zephire, mais a present il est nommé Ouest par les pilottes de la mer occeane, ou ponente par ceux de la mediteranée. Le troisiesme qui vient de la partie septentrionalle fust appellée Borée mais à présent il est appelé Nord en la mer occeane et tramontane, en la mer méditeranée. Et le quatriesme qui vient de la partie meridionalle fust appellée Austre et Nothe, mais à present il est nommé Sud par les mariniers de l’occean, et Mezogorne par ceux de la mer méditeranée. Après ces anciens vindrent quelquns qui à ces quatre vents, en adjousterent encores huict icellement qu’ils avoient douze vents la scituation desquels a esté grandement divisée comme on peut veoir en divers autheurs comme Ptolémée en sa geographie et Aristote en ses meteores. Il y eut quelques autres qui à ces quatre vents principaux en adjoustèrent quatre colatéraux chascun desquels prend son nom de deux principaux le premier d’iceux est scitué entre le Nord et Est et s’appelle Nord Est par les pilottes de la mer occeane, mais greco par ceux de la mer mediteranée, le deuxiesme est scitué entre le Sud et l’Est et s’appelle Sud Est en la mer occeane mais Surbeo en la mer mediteranée. Le troisiesme est scitué entre le Sud et l’Ouest. Il est nommé Sudouest par les pilottes de la mer occeane, mais Libeccio par ceux de la mer méditeranée. Le quatriesme est corloqué entre le Nord et l’Ouest, c’est pourquoy il est appellé Nordouest par les mariniers de l’occean et maestro par ceux de la mer mediteranée. Mais depuis que les modernes pilottes ont entrepris de longues navigations et faire le tour et circuit du monde ou de la terre, ils ont divisé ces huit vents qui sont apelés vents en tiers en deux et les appelent demy vents pour ce qu’ils divisent les huit principaux en deux élallement et chacun d’iceux prend sa dénomination des deux vents qui lui sont colatéraux. Ils ont encore subdivisé chacun de ses seize vents chacun en deux faisant en tout trente deux vents comme il se veoit plus amplement aux figures que nous avons mis icy.

Traité d’hydrographie, Jean Guérard, 1630[4] 

Rose pour scavoir juger l’heure de la plaine mer en tous havres »

Connaissant les jours de Lune et l’orientation du port indiquée dans un tableau par Guérard, où il cite Dieppe, le mécanisme, composé de deux alidades (Soleil et Lune), de différents cercles (Lune, Zodiaque, vents…), permet de connaître l’heure de la pleine mer en tout port pour la période 1635 – 1664. En 1548, Guillaume Brouscon proposait déjà un système identique utilisant la Lune et la rose des vents comme horloge. Un manuscrit anonyme de 1645, « Le Traité de l’Astrolabe », au Fonds Ancien et local de Dieppe reprend le système de Guérard.

Pratique de la rose pour juger les marées.

Trouver lheure quil sera plaine mer à tout lieu proposé en congnoissant les jours de lune et la scituation du havre, il faut mettre lalidade nommée lune sur le rumb de vent ou gist le havre Et lalidade nommée Soleil monstrera sur le cercle des heures à quelle heure il sera plaine mer. Exemple Ayant dix jours de lune les marées estant Est Nord Est, quelle heure est il à plaine mer, mettez lalidade nommée lune sur Est Nord Est, et la lidade nommée Soleil sur les dix jours de Lune, Icelle lidade nommée Soleil nous monstrera quil sera douze heures et demie à plaine mer, nottez que en touttes les opérations de ladicte rose, c’est lalidade nommée Soleil qui vous monstre lheure. Pour trouver comme vous les marées en congnoissant les jours de la lune et l’heure de la plaine mer, en un havre où les marées sont Sud Sud Est et Nord Ouest, J’ay veu quil estoit plaine mer à deux heures trois quar, je désire scavoir combien on avoit de jours de lune, il convient mettre lalidade nommée lune sur le Sud Est ou sur le Nordouest, et la lidade nommée Soleil sur l’heure de 2 heures trois quarts et Icelle lidade nommée Soleil se reposera sur le septiesme jour de la Lune et un peu davantage. Description des cercles de ladicte roze Le cercle intérieur monstre le nombre dor pour vingt huict années, le second cercle monstre lepacte pour le mesme temps. Le troise monstrera la lectre dominicalle, le quatriesme monstre vingt huict années commenceant en lan mil six cens trente et finissant en lan mil six cens trente neuf ( sic ! il faut lire sans doute 59) Le cinqe monstre les jours de la lune, le sixiesme les rumbs, demy rumbs et quarts de vents, le septiesme monstre les vingt quatre heures du jour parties de douze en douze, du nord au Su, et du Sud au nort, le huictiesme demonstre les trois cens soixante degrez du Zodiaque divisés en quatre quarts de quatre vingts dix degrez.

Sphère universelle 

Cette figure permet de résoudre quelques problèmes astronomiques. C’est une sorte d’horloge universelle. Jean Guérard représente la même figure sur sa Carte Universelle de 1634. La présente figure ne peur qu’être du même auteur.

Figure de l’étoile du Nord 

L’usage de cette figure est double : Il est possible de trouver l’heure de la nuit et la déclinaison de l’étoile du Nord.

Figure de l’étoile du Sud 

L’auteur consacre tout un chapitre à cette figure permettant de trouver « la déclinaison pour le regard du pôle antartique ».

Figure de la déclinaison du Soleil et son vrai mouvement 

Cette figure permet de résoudre quelques calculs astronomiques comme la déclinaison du Soleil en fonction du Zodiaque. Elle est strictement identique à celle figurant sur la Carte Universelle de 1634 de Jean Guérard. La comparaison des 2 figures permet d’affirmer que Guérard est bien l’auteur du Traité d’Hydrographie de 1630

Figure pour corriger la longitude

Le calcul de la longitude fut le gros problème des navigateurs jusqu’à l’invention du chronomètre permettant de conserver l’heure du lieu de départ. S’étant intéressé à la déclinaison de la boussole, Guérard mit au point un curieux système pour corriger la longitude, la latitude et la déclinaison de la boussole étant connues. Ce système s’inspire, sans le nommer, du travail de Nautonier. Sur sa carte faite à Dieppe en 1631, Guérard place 17 coordonnées avec les déclinaisons qui s’avèrent d’une exactitude remarquable pour l’époque.

Usage de la figure par laquelle on poura corriger la longitude, la latitude et desclinaison du Bussole estant donnée

Faut que le centre du quard de Bussole soit toujours sur la paralelle de la latitude proposée et aussy du costé de l’Est sy la desclinaison du Bussole est devers l’Est, ou du costé de Ouest sy elle est de ce costé là puis lavancer ou reculer le long de la paralelle, en roidissant son fil jusques à tant que lautre fil attaché au polle et passé par les degrez de la desclinaison du Bussolle. Et le centre lors iceluy fil a monstrera au cercle de l’equinoxial la longitude requise.

Exemple Quelqu’un se trouvant par les 50 degrez de latitude nord et neuf degrez de variation du nordest scavoir quelle estoit la longitude de ce lieu là, il faut faire couler le quart de rose avec son fil jusques à tant que le centre se trouve toujours exactement sur la cinqiesme paralelle en roidissant le fil et l’avançant et reculant jusques à tant que le fil passe par les 9 degrez de H en l’qui est le Nord Est, et se trouvera quil marquera sur lequator 22 degrez ¼ de longitude et faudra faire ainsy de tous les autres. Lon a jusques apresent curieusement cherché le moien de trouver les longitudes du monde, mais nul ny a encore rencontré qui aye trouvé un moien certain Bien que plusieurs se soient servis de divers moiens et aient beaucoup promis mais sans effect qui soit bien asseuré tant francois, portugais, anglois, flamens et autres.

 

1631 – Océan Atlantique, Guerard

Carte [de l’Océan Atlantique] faitte en Dieppe par Jean Guerard Cartographe

Arquenson

https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b55007067q/f1.item.r=jean%20guerard

1634 – Carte universelle hydrographique, Faitte par Jean Guerard

Ne désigne pas le Bassin d’Arcachon

Ce document aux armes de Richelieu se présente plus comme un document d’étude que comme un instrument de navigation. Dépourvu de rumbs, mais riche d’une nomenclature abondante, il est plus géographique que nautique. Il est surtout savant : tous les moyens de mesurer l’espace y sont réunis, sauf l’échelle de distances. Une échelle de latitudes croissantes apparaît sur la bordure latérale et le long du méridien d’origine, situé à l’ouest des Canaries. Cette échelle variable fait de ce document une carte a projection réduite. La longitude se mesure sur les bordures septentrionale et méridionale et sur la ligne équatoriale de 180°à 360° et de 0°à 180°. Les climats et les zones, notions héritées des anciens, se distribuent de part et d’autre de l’équateur, toujours sur les bordures. Au surplus, deux sphères permettent de résoudre quelques questions d’astronomie nautique. La sphère de gauche est un calendrier ; les cercles concentriques représentent, de l’extérieur vers le centre, les mois, 1es jours, les signes du zodiaque les phases de la lune et les saisons. Au centre, à partir d’un centre particulier, des arcs de cercle inscrivent les 23,43° de la déclinaison du soleil[2]. A droite, une sphère illustre les notions connues sur le globe terrestre : méridien, équateur, écliptique tropiques et cercles polaires. L’encadrement seul de ce planisphère contient une somme de renseignements scientifiques tant physiques qu’humains. La représentation de la terre se réfère aux découvertes récentes et aux croyances anciennes. Quelques exemples illustreront ce que cette attitude d’esprit avait de novateur et de conservateur à la fois. La Nouvelle-Zemble et le Spitzberg sont presque entièrement dessinés, alors que la carte de 1628 ne donnait que la côte occidentale. Au Spitzberg, nommé Terre Verte, apparaît le refuge aux Français ou Port-St-Louis. Les pêcheurs basques et normands, sous la direction de Vrolicq[3] du Havre, avaient obtenu un monopole pour la pêche de la baleine en ces régions depuis 1632, mais en avaient été expulsés par les Hollandais et ne conservaient plus qu’un « refuge » nommé Saint-Louis, en l’honneur de Louis XIII. En 1647, un Basque de Ciboure trouva une technique pour fondre l’huile de la baleine à bord : les cabanes et les fourneaux de ces havres saisonniers ne furent dès lors utilisés qu’accidentellement. Au large de l’Irlande, deux îlots, brasil et maidan, sont des îles imaginaires que beaucoup de portulans du XVIè siècle avaient placées là. En Asie, si la muraille de Chine est bien dessinée, on lit encore, au nord, le nom du Cathay de Marco Polo. Et si le Japon, à la forme découpée, est orienté Est-Ouest, les Philippines, les îles de la Sonde et la Nouvelle Guinée forment un ensemble assez correct. La Terre Australle incognue s’étend tout au long de la carte. Ainsi la croyance en un vaste continent austral se maintenait au milieu du XVIIème siècle et devait durer jusqu’au tour du monde de Cook ( 1772-1775). En Amérique du Nord, une inscription placée à la hauteur des Grands Lacs et au Nord de la Californie, formant une île, note : « l’on croit qu’il y a passage de là au Japan ». Partageant cette croyance, Champlain avait préconisé la remontée du Saint Laurent jusqu’aux Grands Lacs, puis la descente d’une rivière sortant d’un lac « qui tombe au Sud dans la mer Vermejo ou Californie ». Le voyage de 1612 ne permit pas de trouver le passage ; néanmoins, vingt ans après, Guérard retient l’idée d’un passage possible. En Amérique du Sud, le « c. de Nord » évoque la colonie ébauchée en Guyane depuis 1626, par des marchands de Rouen.

[1] – Une sphère armillaire est un instrument qui modélise la sphère céleste. Elle est utilisée pour montrer le mouvement apparent des étoiles, du Soleil et de l’écliptique autour de la Terre. Son nom provient du latin armilla (cercle, bracelet). En effet, elle est constituée d’un ensemble de cercles métalliques ou armilles représentant la géométrie des éléments descriptifs de la sphère céleste.

[2] – La Terre tourne autour du Soleil en une année et son plan de révolution définit le plan de l’écliptique. L’élément déterminant est que l’axe de rotation de la Terre sur elle-même, qui reste toujours parallèle à lui-même, n’est pas perpendiculaire au plan de l’écliptique mais est incliné par rapport à cette perpendiculaire d’un angle appelé obliquité de l’écliptique et égale à ε = 23,43°.

[3] – Sa famille, d’origine flamande et modeste, s’établit à Bayonne, puis à Saint-Jean-de-Luz. C’est en trainant gamin sur le port de Ciboure qu’il recueille les récits pleins de la témérité insensée des basques sur l’océan. En 1623, Joannis de Haraneder et Michel de Larralde, armateurs de Saint-Jean-de-Luz et de Ciboure, le recrutent avec la Cie danoise du Spitzberg. Il navigue ensuite en 1624 pour les hollandais, comme harponneur. Enfin il devient « armateur à la pêche à la baleine » en 1631 avec beau vaisseau, le Valk (Faucon) et fonde quelques années après la « Compagnie Havraise de Pêche ». Son courage, sa témérité sont récompensées en 1629 quand il devient le seul français à obtenir du cardinal de Richelieu un congé de navigation pour les mers arctiques. Dès 1635 il arme 6 vaisseaux, prenant le commandement du Hardy. L’armada de pêche reviendra avec 18 baleines. […]Vrolicq, soutenu par Louis XIII, s’entête et brosse en 1634 une carte de l’océan glacial, avec « Port Louis » sur la côte occidentale du Spitzberg et l’ile « Richelieu » (île Jan Mayen), dans la mer du Groenland. En dépit de trésors de diplomatie et d’une grande bravoure, bien vite sa Compagnie fait faillite et « Port-Louis », réclamé par l’ennemi, devient « Baie des Hambourgeois. » En 1636, une fois de plus, Saint-Jean-de-Luz et Ciboure sont mis à sac et incendiés par les espagnols. Les archives sont brulées, quatorze navires baleiniers lourds de fanons et de lard sont capturés. Vrolicq devient alors corsaire, laissant tomber les baleines, il va mettre tout son art de la navigation au service de son Roi.

Sylvie Barrans, Sud Ouest Le Mag’, 28 juillet 2013

[4] – Voir http://jeanguerardcartographe.chez.com/texte01.htm

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Raphaël

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