En 1801, on inaugure la « Société d’Horticulture des Landes ». Après le dessèchement des marais, la fixation des dunes, l’ouverture des voies navigables, on pense à faire des landes un jardin de paradis et d’exotisme et alors on se livre à des expériences.
On sème de l’arachide, prés de Dax et de Mont-de-Marsan ; on prévoit une huilerie mais, faute de résultats, la culture de l’arachide est abandonnée. On sème aussi des acacias, des trembles blancs, des saules, des arbres fruitiers, 25 espèces sont introduites sur la dune de Pachou à la Teste, où subsiste le cippe élevé en mémoire de Brémontier. On se tourne vers le buffle, on va chercher 9 buffles dans le Pô, et comme les landes sont assimilées au Sahara, pourquoi ne pas acclimater le dromadaire ? Malheureusement les animaux finiront dans un cirque ou meurent sur place…
Les autres tentatives sont de cultiver le coton, le pavot. On a essayé d’autres produits comme les rutabagas, les cochons anglais, les vaches suisses mais ce ne fût que faillite sur faillites…
Le monde agricole a longtemps fixé ses regards sur les vastes landes de la plaine de Cazeau. Ce n’est pas sans un profond sentiment de regret qu’on a vu la Compagnie agricole et industrielle d’Arcachon suspendre ses travaux, renoncer à l’œuvre d’ensemble, qu’elle avait entreprise et vendre en détail ses immenses possessions.
La cause d’un tel résultat n’est pas dans le but que s’était proposé la Compagnie : but essentiellement philanthropique et tout à fait digne des sympathies qu’il avait rencontrées ; elle n’est pas non plus dans les moyens mis en œuvre pour opérer le défrichement : ces moyens étaient dispendieux sans doute, mais les conquêtes de l’agriculture ne peuvent se faire qu’avec de l’argent. Cette cause, elle est toute entière dans l’inobservation de ces deux grands principes de l’économie agricole :
1.° Les terres restées sans culture, en France, jusqu’au XIXe siècle sont des terres nécessairement privées de qualités et c’est dans cette privation, avant tout, qu’il faut voir l’oubli dans lequel on les avait laissées ;
2.° Pour ajouter des terres médiocres au domaine agricole qui n’en possède déjà que trop, il faut s’être assuré par ailleurs d’une quantité d’engrais telle que l’exploitation régulière de ces terres puisse être soutenue et à un prix tel que cette exploitation puisse à son tour donner du bénéfice.
Or, quel profit peut-il y avoir à attaquer à la fois plusieurs milliers d’hectares de terres médiocres, bien loin encore de pouvoir se suffire à elles-mêmes pour la production la moins exigeante.
Ceux qui savent combien les difficultés sont grandes en pareille occasion, alors même qu’ils n’ont opéré que sur des portions très restreintes, eu égard à la vaste étendue sur laquelle avait déjà agi la Compagnie d’Arcachon, ne s’étonneront pas du défaut de succès.
Ceux des cultivateurs qu’avait attirés cette Compagnie et qui ont continué à travailler, la plupart avec intelligence et succès, ont bien reconnu depuis la nécessité et l’avantage de procéder avec prudence, avec ménagement et de ne marcher en avant, qu’après avoir assuré complètement leur domination sur les portions de terre déjà soumises, déjà civilisées.
Ils ont reconnu que la terre des landes est, sous la main du cultivateur, un instrument purement passif et que la force qui doit l’animer, au moins dès les premiers moments, doit venir presque toute entière de l’extérieur.
D’où suit la nécessité de faire entrer dans le prix d’achat de ces terres, quand on veut les mettre en culture, une somme au moins égale et bien souvent supérieure à celle qu’il a fallu donner pour en devenir possesseur.
Ainsi du travail, de l’argent, du temps, mais du temps surtout, voilà les moyens à l’aide desquels on se rendra maître des terres incultes…
En vain voudrait-on agir autrement ; […]
Ainsi que cela a eu lieu dans les landes, derrière les défricheurs officiels, pour aussi forts, pour aussi nombreux qu’ils fussent, on verrait la bruyère renaître, reprendre possession du sol, après même avoir été livrée aux flammes, car elle a le merveilleux privilège, cette plante, non seulement de se succéder sans cesse à elle-même, mais encore, semblable au phénix de la fable, de renaître de ses propres cendres.
Pour être vrais, pour être profitables, les défrichements, des landes doivent être confiés au père de famille. Que l’on facilite ces sortes d’entreprises par des travaux de viabilité, par des travaux d’assainissement, et l’on verra les tentatives se produire et devenir de plus en plus nombreuses, de plus en plus certaines.
Des hommes énergiques, des hommes dévoués dirigeront vers ces terres le patriotisme dont ils auront pu reconnaître ailleurs la surabondance. […]
Déjà, ces sortes d’exemples sont nombreux et anciens dans cette vaste contrée, où l’on rencontre bien souvent plus d’aisance et de véritable bien-être que dans d’autres, en apparence plus privilégiées, dans cette contrée à l’égard de laquelle il est particulièrement, vrai de dire, avec le fabuliste :
Patience et longueur de temps font plus que force ni que rage !
Sur cette vaste plaine de Cazeau que parcourait la Société il y a peu d’années, où elle admirait un système d’irrigation comparable, par son étendue et son importance, à tout ce qui a été fait de plus remarquable en ce genre en France, quelques cultivateurs ont continué, sur une échelle réduite, ce que la Compagnie d’Arcachon avait entrepris dans des proportions évidemment trop étendues.
Mais si ces essais n’ont pas eu l’ardeur escomptée, il fallait quand même essayer de trouver des solutions à ces espaces arides.
Faisant suite à l’adjudication des terres appartenant à la « Compagnie Agricole et Industrielle d’Arcachon », profitant des eaux dont ils peuvent disposer en abondance, une expérimentation de riziculture est-elle menée à Villemarie, en bordure du canal des Usines. D’un hectare, la surface est portée à 4,16 hectares l’année suivante malgré des rendements décevants en raison d’une technique mal maîtrisée.
1846-47 est témoin de trois tentatives pour la culture du riz qui auront un plein succès : la première à Lesparre, chez M. Cellerier, juge d’instruction ; la seconde, à La Tresne, chez M. Foussat ; la troisième, à Arcachon, chez M. Brothier.
Nous tenons de M. Foussat, qui nous a donné des échantillons de ces deux derniers essais, les renseignements suivants sur celui tenté à La Tresne : « Le riz fut semé le 20 avril, moitié avec du riz de Piémont, moitié avec du riz de la Caroline. Le riz de Piémont fleurit vers la fin de juillet, soit le 25 ; on en fit la récolte dans les premiers jours d’Octobre, soit le 10.
En supposant que l’époque de la floraison puisse être toujours à peu près la même dans nos contrées, voyons quelle est la somme de chaleur qu’il a fallu à ce riz pour arriver à complète maturité, et examinons en même temps si l’année moyenne, dans la Gironde, pourrait toujours, comme 1846-47, lui fournir cette somme de chaleur. […]
Nous sommes heureux de pouvoir ajouter que cette expérience sera poursuivie par les hommes honorables dont nous venons de citer les noms et dont nous signalons ainsi le dévouement aux intérêts agricoles du pays ».
Effectivement, l’année 1848 voit se renouveler et cette fois sur une grande échelle, les essais de culture de riz, déjà faits dans la plaine de Cazeau, en 1846-47.
Voici l’étendue de ces essais en 1848 :
Chez MM. Ferry, à Villemarie 5,50 ha ; Brothier, à la Forge-d’Arcachon 3,00 ;
de Winzelle, à Taures 1,20 ; Delorme, à N. ……… 0,35 : Total. …. 10,05 ha
Le 15 de juin 1848, nous avons visité ce riz. Il appartient à la variété du riz de Piémont, du riz commun, le même que l’on cultive généralement en Piémont, dans la Lombardie, et plus près de nous en Camargue, là où cette plante récemment introduite paraît aussi devoir donner des résultats avantageux.
Les semis ont été faits du 5 au 8 mai ; peut-être trop tard, mais la difficulté de se procurer de là graine n’a pas permis, ainsi que l’eût rendu facile cependant l’état de la saison, de devancer cette époque de 10 à 12 jours : ce qui aurait pu être bien important pour le succès désiré.
On a usé, pour la préparation de la terre et afin de faire une expérimentation profitable, de matières et d’engrais de différentes espèces. Ainsi de cendre, de chaux provenant de l’épurement du-gaz d’éclairage, de guano, de fumier de mouton , de fumier de vache, etc.
Ce riz, en général bien réussi, présente plusieurs carreaux d’une beauté remarquable.
Il n’est pas hors de propos de faire observer que, parmi ces derniers, ce sont particulièrement ceux de Villemarie situés le long des pins déjà grands et semés sur les berges de l’un des principaux canaux d’irrigations. Ces pins, qui forment un abri contre les vents du nord-ouest expliquent sans doute une telle réussite dans un pays où, l’expérience le prouve chaque jour, la puissance des abris est immense.
Néanmoins, on remarque encore même sur, ces points privilégiés, que le vent a pu exercer de fâcheux effets. Les digues effectivement offrent des débris de plantes arrachées par les vagues, alors que trop faible encore le pied de riz ne tenait au sol que par quelques racines.
Tel est, Messieurs, l’état actuel d’essais qui méritent, nous le répétons, toute votre attention et celle des hommes s’intéressant à l’avenir des landes.
Nous pourrions bien dire quelque chose des dangers que serait susceptible d’offrir plus tard, pour la santé de ses habitants, ce genre d’utilisation de la terre des landes. Mais, il ne faut pas ajouter des difficultés à venir à des difficultés présentes, et d’ailleurs, qui sait si aujourd’hui l’industrie de l’homme, les progrès de la science secondés par quelque circonstance particulière à la localité et que nous ne saurions prévoir ne seraient pas de nature à s’opposer à ce danger. Pour le moment, nous ne voyons qu’une tentative qui peut tourner au profit de l’agriculture ; nous ne voyons qu’une entreprise digne d’être encouragée.
En 1849, le comte Blacas-Carros (1791-1857) fonde la « Compagnie ouvrière de colonisation des Landes de Gascogne» qui rachète les parcelles abandonnées par la « Compagnie agricole et industrielle d’Arcachon » ; grâce à l’irrigation existante elle met tous ses espoirs dans la culture du riz.
C’est bien une logique totalement coloniale qui s’exprime là vis-à-vis de cette terre particulièrement déshéritée de nostra Occitània. Le terme de « colonisation » est même ouvertement employé en 1849 lorsque naît cette Compagnie ouvrière ; le terme revêt alors, à vrai dire, son sens premier et essentiel (et extrêmement valorisant dans le contexte historique) : amener sur un territoire donné les « bienfaits du commerce et de l’industrie », autrement dit du capitalisme ; en arrachant ce territoire à l’arriération… mais en arrachant aussi la grande masse de la population à ses moyens de subsistance immémoriaux pour en faire de purs instruments de la production de plus-value.
La compagnie, dirigée par des hommes intelligents et capables qui ne tardent pas à s’apercevoir que sur un terrain si pauvre, vu la rareté du fumier et son prix élevé, ils ne peuvent cultiver avec profit que des plantes vivant d’air et d’eau (fraiche) dont ils disposent en grande abondance, toutes les conditions leur paraissent on ne peut plus favorables à la culture du riz et ils disposent le terrain en conséquence.
Ph.-A. Fery présente son riz à l’Exposition universelle des produits agricoles et industriels qui se tient à Paris, dans le Palais de l’Industrie, au carré Marigny, du 1er mai au 30 septembre 1855, tandis que Foussat frères & Cie, de Bordeaux, exhibent leurs riz décortiqués et blanchis.
Cependant, au point de vue de l’intérêt général, ce n’est pas la culture malsaine du riz qu’il aurait fallu introduire dans les landes déjà trop malsaines par la nature de leur sol ; mais la compagnie comprenant les exigences et les dépenses des autres cultures, à l’exception toutefois du pin maritime, n’est peut-être pas en mesure d’attendre 25 ans le produit.
Elle cultive le riz dont la récolte annuelle peut lui assurer du profit et, comme toutes les compagnies financières, elle calcule sérieusement, elle veut faire des bénéfices de suite et amortir les avances de ses capitaux ; elle se hâte de préparer le sol et l’aménagement des eaux indispensables à la culture du riz sur une grande étendue et fait de grandes dépenses.
Ils réussissent d’abord fort bien : le riz de leurs récoltes se vend bien à Bordeaux ; sur une portion des terrains irrigués, au sud du lieu-dit Batchelle (aujourd’hui Baquelle), cette société étend progressivement la culture du riz qui de 100 hectares, en 1851, passe à 300 l’année suivante, pour atteindre une récolte d’excellente qualité d’environ 2 700 hectolitres en 1850 et 10 000 hectolitres en 1852.
De nombreux projets sont lancés par les actionnaires : variété des cultures et promesses de rendements extraordinaires, créer un bassin d’emploi sans précédent autour de la Compagnie. En 1854, cette compagnie fait creuser par des colons – des ouvriers venant du Béarn, d’Auvergne, du Dauphiné et d’Espagne – le port du Canal à Gujan-Mestras afin de construire la digue qui mène à l’établissement de bains de Mestras ; large de 10 mètres, il a une structure similaire à un canal d’où son nom. Avec le développement de la pêche et de l’ostréiculture, il sera transformé, en port, avec la construction d’une darse ainsi que d’un bassin de chasse, permettant d’avoir un flux permanent d’eau afin d’éviter l’envasement.
Mais, c’est sans compter sur la jalousie des habitants de Gujan, — encore eux ! — « une population de marins rétrograde et ennemie de tout progrès » (dixit l’exploitant des rizières), qui écrivent une lettre au Préfet de la Gironde pour se plaindre des conséquences néfastes de cette culture, à savoir une prolifération des moustiques qui engendrent toutes sortes de maladies et la recrudescence de la malaria.
La compagnie commet encore la faute de vouloir aller trop vite en besogne, et les fonds dont elle peut disposer finissent par s’épuiser.
Inquiets, les manœuvres espagnols employés aux champs rejoignent leur Ibérie natale, tandis qu’un arrêté préfectoral prescrit les règles à respecter pour l’établissement des rizières : distance à respecter par rapport aux quartiers d’habitations de Meyran, Mestras et La Ruade, quantité d’eau à distribuer à l’hectare, calendrier d’irrigation et de dessèchement total à respecter, récurage des fossés, mesures de salubrité pour les ouvriers, etc.
Malheureusement, une méconnaissance certaine des sols des Landes de La Teste et de Gujan, et faute de capitaux pour se mettre en conformité avec la nouvelle réglementation, la compagnie cesse son activité en 1860.
En résumé, ce fut une tentative infructueuse quant à l’amélioration des landes parce qu’elle y introduisit une culture qui ne pouvait qu’augmenter l’insalubrité du pays, et c’est juste le contraire qu’il faut faire pour accroître sa richesse et sa population. Le pin maritime (espèce endémique) est la seule espèce qui réussira à tirer son épingle du jeu dans toutes les Landes de Gascogne.
La plaine de Cazaux redevient de la lande à moutons. Certains propriétaires de lots acquis en 1847 tentent de semer des pins mais ils sont attaqués en justice par les propriétaires de troupeaux invoquant la baillette de 1550.
Alors que dans les communes voisines les landes se couvrent de jeunes forêts à la suite de la Loi de 1857, voulue et promulguée par l’empereur Napoléon III, les landes de La Teste et de Gujan demeurent de la lande.
Une décision judiciaire, en 1872, ordonne une deuxième série de ventes pour terminer la liquidation.
Ce n’est que tardivement, à la fin du XIXe siècle, quand les communes et les propriétaires comprendront qu’un cantonnement du droit de pacage est la seule solution, que la plaine de Cazaux devient forêt.
Le réseau de canaux d’irrigation créé par la « Compagnie agricole et industrielle d’Arcachon » ne contribua que dans une faible mesure à l’assainissement du sol. Les quatre principaux canaux d’irrigation, en effet, sont orientés ouest-est, c’est-à-dire en travers de la pente ; seules les rigoles sud-nord, qui les relient entre eux, peuvent être utilisées après reprofilage pour évacuer les eaux de pluie vers le Bassin.
La plaine de Cazaux cessa d’être inondée en hiver grâce avant tout à la « Compagnie d’exploitation et de colonisation des Landes de Bordeaux », la compagnie du canal, qui obtint par ordonnance du roi du 27 novembre 1836 l’abaissement du niveau du lac de Cazaux, la fixation d’un niveau légal, et dont le canal de navigation absorba les crues du lac et les évacua sur le Bassin.
Sur le terrain, les traces de l’ancien réseau d’irrigation et quelques noms de lieu : Bonneval, Montmorency, Marpon, Chabannes, le Pas du Maquis, Sainte Marie, rappellent à de rares initiés le souvenir de la Compagnie agricole et industrielle d’Arcachon.
En 1963, la ville d’Arcachon donne à l’une de ses places le nom d’Euryale Cazaux. Hommage justifié si l’on considère que la raison sociale de la Compagnie contribua à faire connaître le nom d’Arcachon dans les milieux aristocratiques et bourgeois où se recrutaient ses actionnaires, mais incomplet, car on ne voit pas pourquoi le Comte de Blacas et Paul-Emile Wissocq n’y ont pas été associés, faisant partie du triumvirat au même titre qu’Euryale Cazaux.
Le canal d’irrigation sert encore à l’arrosage de quelques hectares de prairies.
http://m.decouvrirlaphoto.free.fr/rizieresarcachon.htm
« La Compagnie agricole et industrielle d’Arcachon », Jacques Ragot, Bulletin n° 32 du 2e trimestre 1982, de la Société historique et archéologique d’Arcachon et du Pays de Buch.
https://www.shaapb.fr/la-compagnie-agricole-et-industrielle-darcachon/
« Culture du riz dans la plaine de Cazeau », L’Agriculture comme source de richesse, comme garantie du repos social : recueil uniquement consacré aux progrès de l’agriculture, des sciences et des arts qui s’y rapportent, dans la Gironde et les départements environnants…, Communication faite à la Société Linéenne, le 29 juillet 1848, par le Professeur d’agriculture de Bordeaux.
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5725701m/f18.item.r=foussat%20villemarie
https://archive.org/stream/catalogueofficie00expo_2/catalogueofficie00expo_2_djvu.txt
Voir AD 33 2Fi 1225 F, 2Fi 1061
Profil en travers du canal montrant son ensablement (Source AD 33. SP 728).
Canal des Landes porté à la connaissance de l’histoire de l’ouvrage, Rapport d’étude de Cédric Lavigne, consultant en archéogéographie, 2017.
Voir aussi 1840
Statistique générale, topographique, scientifique, administrative, industrielle, commerciale, agricole, historique, archéologique et biographique du département de la Gironde. Tome 1, Édouard Feret (1844-1909).
Notice sur la Compagnie agricole et industrielle d’Arcachon…, Joseph-François-Gabriel Hennequin (1775-1842).
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k97343293/f75.image.r=compagnie%20industrielle%20d’arcachon
Mémoire sur la fertilisation graduelle des landes de Gascogne, Auguste Du Peyrat (1798-187.?).
Plan du 3 mai 1834 indiquant les diverses propriété traversées par le projet de canal des Landes AD33 2 Fi 1225