1818 – France routière, Brué – Entrée du Bassin d’Arcachon, I. de Matoc, Ft Cantin, la Teste-de Buch, Cazau, la Mothe, Leyre R., le Canau R., Salles, Belliet, Belin, Mons, le Barp, Audenge, Lanton, Anderno(s), Liège, le Porge
Carte physique, administrative et routière de la France
indiquant aussi la navigation intérieure du royaume, par A. H. Brué… Dix myriamètres [= 0m, 105] ; lieues communes de 25 au degré 25
Entrée du Bassin d’Arcachon, I. de Matoc, Ft Cantin, la Teste-de Buch, Cazau, la Mothe, Leyre R., le Canau R., Salles, Belliet, Belin, Mons, le Barp, Audenge, Lanton, Anderno(s), Liège, le Porge
Adrien-Hubert Brué, né à Paris le 20 mars 1786 et mort du choléra le 16 juillet 1832 à Sceaux, est un cartographe français.
Il est mousse sur divers navires à partir de l’âge de 12 ans, et embarque à 14 ans comme mousse de deuxième classe à bord du Naturaliste qui fait partie de l’expédition Baudin (1800-1804) vers les mers du Sud et la Nouvelle-Hollande (Australie) et qui est commandé au début de l’expédition par le capitaine Hamelin et à la fin de l’expédition par Louis de Freycinet.
Adrien-Hubert Brué produit divers atlas et des cartes spéciales également remarquables par la pureté de la gravure et l’exactitude des renseignements. Son ouvrage principal est son Atlas universel, publié d’abord en 1820, en 36 cartes, cet atlas est graduellement augmenté par lui et par Charles Picquet.
Brué dessine directement sur cuivre (en grec : cypros) : il donne aux cartes dressées par ce procédé le nom de cartes encyprototypes
Nécrologie de Larenaudière : « Le choléra qui semble frapper toutes les sommités de la science, vient de faire éprouver à la géographie une de ces pertes qui laissent après elle un vide immense. M. Adrien Brué, géographe du roi, dont la santé était depuis longtemps altérée et qui s’était retiré à Sceaux pour respirer un air plus pur, y a succombé à une violente attaque de l’épidémie régnante. L’Europe savante l’avait proclamé l’un des cartographes les plus distingués de l’époque actuelle. Il était membre de la commission centrale de la société de géographie de Paris, et associé de la société géographique de Londres. Ces deux compagnies savantes trouvaient en lui un ami zélé de la science, un critique profond et sans passion, toujours prêt à éclairer la discussion de ses lumières et rempli d’obligeance pour ses collègues ; M. Brué avait beaucoup navigué, il faisait partie de l’expédition du capitaine Baudin ; il avait visité les mers du nord ainsi que les parages de l’Afrique occidentale, et rapporté de ses voyages une véritable passion pour la science qui devait illustrer sa vie. À son arrivée à Paris, il débuta par appliquer à la confection des cartes cet ingénieux procédé du dessin sur le cuivre même, qui assure plus d’exactitude et permet de donner aux contours plus de finesse, de netteté, de modifier convenablement le système orographique ou le relief du terrain, de marquer par un trait plein les divers cours d’eau et d’établir ainsi, au premier coup-d’œil, leur rapport de volume. Les premières cartes de M. Brué, les cinq parties du monde tracées d’après cette méthode annoncent un géographe consciencieux. L’Océanie était supérieure aux autres par l’heureux emploi des matériaux alors réunis. M. Brué sentit que des études plus profondes lui restaient à faire. Il ne recula ni devant le travail le plus opiniâtre, ni devant aucun sacrifice d’argent. Il conçut le plan d’un atlas universel, destiné à reproduire sans cesse les progrès de la géographie par le remplacement successif des cartes, à mesure que de nouveaux documents venaient à modifier le tracé général, ou les points principaux, ou seulement les détails les plus importants. C’était là des vues toutes désintéressées, mais un fort mauvais calcul commercial. Pour n’être pas entravé dans cette marche généreuse par les prudentes observations et les résistances d’un marchand de cartes, M. Brué résolut de faire les frais de son atlas, qui se compose aujourd’hui de 65 cartes. C’est la réunion la plus complète que nous ayons, en France, et l’ensemble le plus satisfaisant, le plus propre à diriger l’instruction. Quelques-unes de ces cartes ont été plusieurs fois reproduites par leur auteur avec de notables améliorations, d’autres ont été ajoutées comme développement. Ce n’est pas le lieu d’examiner ici leur mérite respectif, nous nous livrerons plus tard à cet examen, dont la mémoire du célèbre géographe n’a rien à redouter. M. Brué laisse plusieurs ouvrages inachevés. De ce nombre est son grand et beau travail sur l’Amérique du sud ; sa belle carte des États-Unis est heureusement terminée. Il se proposait de publier une grande carte d’Afrique, enrichie de toutes les nouvelles découvertes. Celles de M. Douville dans le Congo devaient y figurer avec d’autant plus d’exactitude, que M. Brué avait fait une étude toute spéciale de l’itinéraire de ce voyageur célèbre, et que la carte qui accompagne sa relation est la dernière production du grand géographe dont nous déplorons la perte prématurée. M. Brué est mort le 16 juillet, à l’âge de quarante-six ans. Victime de son assiduité et de sa persévérance au travail, il emporte les regrets de tous ceux qui l’ont connu et de tous les amis de la géographie. »
Nouvelles annales des Voyages et des sciences géographiques, tome troisième de l’année 1832, pp. 160-161, Larenaudière.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Adrien-Hubert_Bru%C3%A9
1830 – Carte gastronomique, routière et administrative de la France, Monin – la Teste de Buch, le Barp
Nouvelle carte gastronomique, routière et administrative de la France
dressée par Charles V. Monin (18..-1880)
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b53084730z.r=monin?rk=21459;2
Dans ses ateliers de Paris et de Caen, trois atlas importants et plusieurs ouvrages indépendants sont réalisés entre 1830 et 1880. Monin est membre de la Société de Géographie de Paris, et travaille également avec d’autres éditeurs de cartes français dont Antoine-Remy Frémin et Alexandre Aimé Vuillemin (1812-1886).
Grand innovateur, il est l’un des premiers cartographes en Europe à profiter du procédé d’impression nouvellement découvert : la « gravure lithographique ». Il produit une grande quantité d’estampes, en utilisant des plaques d’acier au lieu de cuivre dont la durabilité en raison de sa ductilité est relativement courte. Le cuivre était couramment utilisé pour la réalisation d’estampes depuis le XVIe siècle.
Parmi ses publications figurent : « Le Petit Atlas National des départements de France et de ses colonies » de 1835 ; « L’Atlas Universel de Géographie Ancienne, Médiévale et Moderne » de 1938; le « Globe » de 1875.
https://it.wikipedia.org/wiki/Charles_V._Monin
1835 – France, Monin – Dessin particulier du Bassin d’Arcachon, Belin, [Castelnau de Modoc]
France universelle. Tableau général… de ce royaume, contenant… une carte générale routière…, C.- V. Monin…
Dessin particulier du Bassin d’Arcachon, Belin, [Castelnau de Modoc]
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b53083079n.r=Royaume?rk=21459;2
1851 – France, Brué – Entrée du Bassin d’Arcachon, I. de Matoc, Ft Cantin, la Teste-de Buch, Cazau, Gujan, la Mothe, Leyre R., le Canau R., Mios, Salles, Belliet, Belin, Mons, le Barp, Audenge, Lanton, Andernos, Liège, le Porge
Carte Physique, administrative et routière de la France indiquant la Navigation intérieure et les Chemins de fer
par Brué, … Nouvelle Edition Conforme aux Classifications les plus récentes des Routes Natles et Départementales et aux Changemens survenus dans le service des Relais de Poste, Adrien-Hubert Brué, (1786-1832). Éditeur : Andriveau-Goujon (Paris), date d’édition : 1851
Entrée du Bassin d’Arcachon, I. de Matoc, Ft Cantin, la Teste-de Buch, Cazau, Gujan, la Mothe, Leyre R., le Canau R., Mios, Salles, Belliet, Belin, Mons, le Barp, Audenge, Lanton, Andernos, Liège, le Porge
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b53100127t/f3.item
1840 – Europe, Brué – Bassin d’Arcachon, la Teste de Buch, Leyre R.
Carte politique, routière et statistique de l’Europe
d’après les derniers traités, Adrien-Hubert Brué, (1786-1832). Éditeur : Bastien ainé (Paris), date d’édition : 1840
Bassin d’Arcachon, la Teste de Buch, Etang de Cazau, Leyre R.
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b53093259w
1851 – Europe, Brué – Bassin d’Arcachon, la Teste de Buch, Leyre R.
Carte politique, routière et statistique de l’Europe d’après les derniers traités
Adrien-Hubert Brué, (1786-1832). Éditeur : A. Logerot (Paris), date d’édition : 1851
Bassin d’Arcachon, la Teste de Buch, Leyre R.
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b53093281j
1900 – France de Dion Bouton, Vavasseur
Carte routière de France de Dion Bouton spéciale pour automobiles dressée… par F. Vavasseur (18..-19..), 82 rue Mazarine, dans le 6ème arrondissement de Paris. Éditeur : J. Barreau, 16 rue Littré (Paris)
Vavasseur : Vassal d’un seigneur lui-même vassal ; homme pourvu d’un arrière-fief ; petit vassal en général. (A. France, J. d’Arc, t. 1, 1908, p. 72).
Notamment en Normandie : Titulaire d’un fief plus petit que celui du chevalier, et qui peut combattre à cheval, mais avec un équipement moins coûteux que celui du chevalier (d’apr. Fr. Olivier-Martin, Hist. du dr. fr., 1984 [1950], p. 132).
Au 82 rue Mazarine, le restaurant Pinxo Saint Germain qui a été ouvert en mars 2012 par Alain Dutournier, est devenu en octobre 2013 le Mangetout.
Le Mangetout est installé en lieu et place du restaurant des Beaux-Arts.
La cuisine du Mangetout est réalisée sur place ; la carte du restaurant annonce le foie gras de canard fermier, les fraîcheurs du jardin en salade parfumée, le cœur de saumon bio mariné, les crevettes en infusion d’herbes fraîches, le boudin du Sud Adour et pomme moutardée, la tête de veau en daube de cèpes, la cuisse de canard confite sur l’os, le magret de canard cuit rosé, le bœuf de Chalosse cuit épais à la plaque, ou les gambas Black Tiger à la plancha.
Pour le dessert, après l’assiette des trois fromages, la tourtière des Landes chaude et croustillante avec une glace à l’Armagnac, les nonettes de chocolat noir épicé, ou le mazagran de framboises et mousse de chocolat blanc.
Belle sélection de vins par Alain Dutournier et les Caves Marly.
Ouvert depuis mai 2021, venez découvrir Julieta la Casa, un bar à tapas et restaurant espagnol, une ambiance colorée et chaleureuse. Le cadre est haut en couleur avec une décoration typée sur Pedro Almodovar.
Pour la restauration, nos tapas et nos plats espagnols sont entièrement faits maison. Nous proposons aussi une sangria succulente et une belle sélection de vins venants d’Espagne.
À décoration atypique, agencement atypique avec une première salle de restauration en rez-de-chaussée et sa petite terrasse, au 1er étage nous retrouvons une grande table pour 10 personnes, des canapés et des tables basses pour boire un verre.
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b53029914j
https://www.lesrestos.com/restaurant/fiche/paris/mangetout
https://www.reserverunbar.fr/lieu/1097/julieta-la-casa