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Le Bourdiou – Jeunesse Sportive et Culturelle Pitray-Olier

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24 février 1866 & 18 décembre 1868, procès-verbaux de délimitation partielle entre l’État et M. Simard de Pitray : la forêt appartient à M. Simard de Pitray pour 3 016 ha 38 ares (décision du Ministre des finances du 30 juin 1868).

https://archive.org/stream/notesurlesdunes00bertgoog/notesurlesdunes00bertgoog_djvu.txt [2]

Entre 1920 et 1930, Jean de Pitray fait envoyer au haras d’Audenge une jument capturée. Elle est saillie par un étalon appelé « Moulin Royal » ; relâchée dans les dunes, elle a une pouliche qui, à son tour, fait des petits. En 1930, vagabondent 30 à 35 chevaux avec leurs poulains dans les dunes de Lacanau et du Porge ; un propriétaire a la malencontreuse idée de lâcher en liberté une jument domestique qui a besoin de se refaire une santé. Cette bête rejoint le troupeau sauvage et lui enseigne les chemins menant aux champs de seigle. On tente d’éloigner les chevaux à coups de fusil ; certains sont blessés, mais rien n’y fait, ils reviennent toujours. On décide alors de débarrasser le pays de la bande et de la céder à un marchand de Bordeaux qui doit en prendre livraison en camions. Il faut pour cela la capturer en totalité et d’un seul coup. Le moyen employé est assez original : le troupeau pacageait pour l’instant dans la lande de Mistre, à l’est du canal des étangs. Le plan adopté consiste à leur faire reprendre le chemin des dunes au-delà du canal et les faire pénétrer dans un « braguey[1] [3] » aménagé à la sortie ouest du pont, passage obligé pour franchir le canal. Mais pour mener à bien l’opération et chasser les chevaux vers le pont il faudrait des cavaliers, or aucun des participants n’a de monture. C’est alors qu’un de ceux-ci, Daniel de Pitray, demande à un de ses amis, aviateur à la base militaire d’Hourtin, de venir survoler le troupeau en rase-mottes. Ce qui est fait. Les chevaux affolés se dispersent et n’ont plus qu’une idée, regagner les dunes, leur refuge habituel. Ils se dirigent tous vers le pont comme on l’escomptait et sont pris au piège.

C’est ainsi qu’on eut recours à un homme volant pour réduire les derniers et vaillants petits chevaux sauvages du Porge. Pour la petite histoire ajoutons que cet homme volant n’est pas l’officier, ami de M. de Pitray, mais un remplaçant. L’officier, le jour « J », est aux arrêts pour s’être livré la veille à des acrobaties aériennes défendues par le règlement…

https://www.shaapb.fr/les-petits-chevaux-sauvages-des-dunes/ [4]

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Aujourd’hui, nous avons toujours une entreprise de sylviculture et autres activités forestières, dirigée par madame Rose de Simard de Pitray, épouse d’Yves Sergent, ayant reçu la bénédiction nuptiale de son oncle de Traversay en l’église de Martillac en 1954.

Bienvenue au Pitray-Olier : l’endroit est situé dans les beaux quartiers du VIe arrondissement, face au jardin du Luxembourg, entre le lycée Montaigne et l’église Saint-Sulpice. Sur le fronton du bâtiment situé au fond d’une cour s’affiche la devise « Qui a Jésus a tout ». Le rez-de-chaussée accueille le foot, le premier étage la musique et les réunions, le deuxième abrite la salle de spectacle où se produisent les acteurs de théâtre. Les locaux appartiennent à la paroisse Saint-Sulpice, qui héberge le Patronage Olier (PO) depuis sa fondation en 1895 par Gaston Simard de Pitray, prêtre sulpicien.

« Bien que l’Église catholique soit à l’origine de la création du club, l’objectif a toujours été d’accueillir les enfants de toute religion, souligne le président Nathanaël Napoli. Nous avons un fonctionnement laïque. L’objectif est de mettre en avant la fraternité et de compter parmi nos licenciés des enfants différents qui trouvent leur épanouissement dans une ambiance saine. »

Le club au budget de 300 000 francs compte 600 licenciés en football (plus une centaine dans les sections musique et théâtre), mais il peine à trouver des terrains puisqu’il n’y a pas de stade dans le VIe arrondissement. En revanche, chaque licencié de 6 et 15 ans a la chance de partir une semaine à la Toussaint ou à Pâques dans une bâtisse au Porge appartenant au patronage. Le coût se répercute sur le prix de la licence (entre 300 et 350 fr) « Mais on s’arrange avec les familles en difficulté, et celles plus aisées donnent davantage, révèle Nathanaël Napoli. Nos jeunes grandissent ensemble et cela crée du lien, puisque tous gardent contact lorsqu’ils sont adultes. Pour preuve, on compte 4 équipes de… vétérans. »

Cette mixité se retrouve au sein de l’équipe fanion où se côtoie le fils de Vincent Peillon (ministre de l’Éducation nationale de 2012 à 2014) et des joueurs issus du XIVe, du XVe et même du XVIIIe arrondissement. « Notre mission première, c’est prôner la laïcité et s’enrichir auprès des autres », indique l’attaquant Mohamed Diarra (20 ans), arrivé en 2009 et originaire du populaire quartier de la Goutte-d’Or (XVIIIe). Son coéquipier Jérémy Fages opine du chef. « On est plus qu’une équipe de foot, on est une famille », conclut le consultant en informatique, prêt pour l’exploit aujourd’hui 27 septembre 2015 à 16 h 30 au complexe Didot (XIVe).

L’association Jeunesse Sportive et Culturelle Pitray-Olier, dite le PO, est une œuvre éducative et sociale, consacrée à la jeunesse et en 1895, l’abbé Pitray, responsable du patronage de Saint-Sulpice, crée, au Bourdiou, une colonie pour les enfants faibles et maladifs ; de colonie anonyme, elle est baptisée colonie Édouard à l’été 1898, Pitray la nommant ainsi en l’honneur de son ami récemment décédé Édouard Tafoureau, avec qui il a passé l’été précédent au Bourdiou.

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Ce centre de vacances est un lieu magique à la lisière de la forêt. La richesse du milieu environnant  (canal, étangs, forêt, cordon dunaire, gemmage…) permet notamment d’exploiter avec les élèves des ateliers sur les thèmes de la nature, de l’environnement, du développement durable, du patrimoine écologique… Le centre reçoit également les adultes à l’occasion de mariages, de séminaires ou simplement de retrouvailles.

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À une dizaine de kilomètres de l’océan, à une quinzaine de kilomètres du bassin d’Arcachon, non loin du lac de Lacanau, le “Bourdiou” se présente comme un village d’enfants, au cœur d’un airial situé à trois kilomètres au nord du bourg du Porge.

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C’est un vaste espace de trois hectares dans lequel les enfants sont logés par tranches d’âges, en dortoirs équipés de chambres de six avec rangements individuels. Les bâtiments indépendants (lieux de sommeil, salles d’activités, pavillon administratif, salle à manger, chapelle) donnent à la propriété l’aspect d’un hameau, équipé d’un terrain de sports et d’une plaine de jeux protégée par des chênes centenaires. C’est un lieu paisible où les enfants peuvent évoluer, sans danger, en confiance et liberté.

L’existence d’un projet pédagogique fait partie des obligations formulées par le Ministère de la Santé, de la Jeunesse et des Sports pour que le séjour puisse avoir lieu. Le directeur écrit un projet particulier en fonction de la période de l’année, de la durée du séjour, du nombre d’enfants, de leur âge, de l’expérience des animateurs.

À l’occasion des journées du patrimoine, notre feu ami porgeais Jean-Jacques Meyre réalise une exposition sur « Le Porge, il y a 100 ans » présentant, entre autres, de nombreuses photos sur le Bourdiou ainsi que le texte suivant : Qui au Porge n’a pas entendu parler du Bourdiou, peu de monde évidemment ! Tout le monde, bien sûr, a pu remarquer lors de vacances scolaires des enfants déambulant dans le Porge, habillés de maillots d’équipes de football, le plus souvent aux couleurs d’un grand club parisien que je ne nommerai pas, venant au bourg acheter quelques friandises au cours d’une promenade.

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Ce Bourdiou a une histoire exceptionnelle. Sa création a été faite au XIXe siècle par Gaston de Simard de Pitray[2] [10], prêtre de Saint Sulpice. Durant son séminaire, en 1892, il lui est confié les enfants du catéchisme des écoles communales du quartier Saint-Sulpice. En 1893, il en amène un groupe à Montmartre ; l’intérieur seul de la nouvelle basilique a été inauguré en 1891. Dans cette basilique en construction, le séminariste et les enfants font le vœu de persévérer et de construire ce qui sera le P.O. C’est l’acte de naissance du Patronage  placé par Gaston Simard de Pitray sous le patronage de Jean-Jacques Olier, curé de Saint-Sulpice en 1641. Monsieur de Pitray est ordonné prêtre le 8 juin 1893. Dès les premières années de son ministère à Saint-Sulpice, il s’occupe des enfants du quartier. Il connaît très bien leurs conditions d’existence, le manque de confort et l’insalubrité des logements constituent un foyer de développement propice à la tuberculose qui fait des ravages.

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Il imagine donc d’emmener quelques enfants dans cette forêt du Porge et ses grands espaces de landes où, enfant, il a passé les mois d’été avec sa famille. Il compte pour cela utiliser une ancienne bergerie, relais de chasse de sa famille.

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C’est ce qui se passe en 1897, à la Tressade. L’année suivante, ce sont onze enfants qui vont passer 33 jours au Bourdiou à partir du 2 août ; la colonie débuté vraiment dès l’arrivée de ces onze enfants au Porge. Depuis, elle a toujours existé et continue encore de nos jours.

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Depuis le début, le chemin de fer est utilisé depuis Paris jusqu’au Porge. Une nuit de train jusqu’à Bordeaux par la Compagnie du Midi puis continuation par Facture et Arès par la Compagnie des Chemins de Fer Économiques. Depuis la gare, des charrettes emportent malles, valises et colons vers le Bourdiou. Les charrettes sont conduites dans les premiers temps par Maurice Désarnaud dit « de la Brune». Il habite à la ferme la plus proche de la colonie. Claire Seguin, sa petite fille raconte que tous les matins, après la traite des vaches, la famille allait porter le lait du petit-déjeuner à Anna et plus tard à Mme Gauthier, la cuisinière de la colo. Le grand père promène aussi de temps en temps les colons avec son attelage. Peu de gens chez nous ont souvenance des premières années, car ils ne sont plus là pour témoigner ; pour beaucoup, ce n’est pas une habitude de coucher sur le papier ses souvenirs. Jacques Voise, colon au Bourdiou, et maintenant Porgeais depuis sa retraite, a de ces années 1930 beaucoup de souvenirs émouvants sur Monsieur de Pitray. Il a le souvenir de ses promenades dans les dunes, à la Tressade, à Lacanau, au Porge et au Bassin ; et aussi de ses mémorables voyages en train depuis Paris. Il m’a raconté une grande première : une année, pour le retour, la Compagnie du Midi avait fait amener au Porge un de ses wagons où les colons ont embarqué. Ce wagon est arrivé directement en gare de Paris ; ainsi grâce au P.O, soyons modestes, le wagon d’un train a effectué la ligne complète Le Porge-Paris ! Après la guerre, j’avais dix ans et j’ai fait la connaissance de Monsieur Perrenet venu voir mon père pour lui demander un service. Les transports sont, à ce moment-là, difficiles, tout comme les fournitures pour l’alimentation de la colonie. Monsieur Perrenet est accompagné de Monsieur Maurice Pédroja, l’intendant de la colo. Ils demandent à mon père s’il pourrait, en allant le vendredi matin aux Capucins, emmener Monsieur Pédroja faire les courses pour la colo et les ramener au Bourdiou. Mon père a bien sûr accepté et, toutes les semaines à 4 heures du matin, ils partiront pour Bordeaux.

J’étais à côté d’eux, Monsieur Perrenet s’est adressé à moi, je me rappelle le son de sa voix et il me demande en me demandant mon prénom : voudrais-tu venir passer de temps en temps un jour à la colonie ? J’ai bien sûr dit oui. J’ai donc passé quelques jours durant l’été à la colonie où mon père m’emmenait. Monsieur Perrenet m’a confié à un chef d’équipe qui, je crois me rappeler, avait pour nom de famille Monnier. Je pense qu’il avait des lunettes. C’était de la part de Monsieur Perrenet une façon de rendre le service que mon père lui rendait. Et on sait très bien que celui qui donne reçoit beaucoup. Monsieur Perrenet est de ceux qui donnent beaucoup avec le cœur. Cette expérience a été pour moi nouvelle et enrichissante. J’ai fait à cette époque la connaissance d’André Bienvenu, qui lui aussi a sympathisé avec mon père, pour des raisons philatéliques et photographiques. Mes souvenirs de lui sont les suivants : un homme assez petit, gouailleur, en pantalons de golf et chaussettes assorties, avec une casquette que je puis, à posteriori, comparer à Tintin. J’ai aussi connu Bedel qui, je crois, a terminé sa vie au Porge. Par contre je n’ai jamais su son prénom, c’était Bedel pour tout le monde. Il y a dans le livret consacré à Monsieur Perrenet une photo qui le représente, ma mère et Mademoiselle Malineau, fille de l’entrepreneur qui a construit la chapelle ainsi que Bedel.

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Au fond, devant le bâtiment, il y a la camionnette Renault de mon père avec laquelle il emmène Monsieur Pédroja au marché. En relisant le numéro spécial des nouvelles du P.O consacré à Monsieur de Pitray, j’ai lu un texte de Monsieur Pédroja parlant du dernier séjour de Monsieur de Pitray au Porge. J’ai été profondément ému de savoir qu’il avait décidé, à l’insu de tous, de rentrer à Paris en repartant le vendredi matin à 4 heures avec mon père et Monsieur Pédroja, dans la camionnette des courses. Il a quitté le Porge et le Bourdiou qu’il a fondé et façonné avec la camionnette ! Avec le recul de l’âge, j’y vois une grande leçon d’humilité. Plus tard, j’ai grandi et ma vie a pris son cours, je me suis marié, j’ai repris le magasin familial au Porge. La colonie elle aussi a évolué dans ses structures et ses séjours. Au cours d’un séjour de Pâques, un effectif réduit de grands ados est venu en colo. Un jour, ils sont venus en groupe au Porge se promener ; dans le magasin, ils ont fait des courses. Tout à coup, la vendeuse vient me voir catastrophée : Jean-Jacques, on a été volés, me dit-elle. Que faire? Je téléphone à la colonie et demande le directeur à qui j’explique l’incident. Il m’annonce son arrivée. Une demi-heure plus tard, je vois rentrer au magasin un monsieur aux cheveux longs, avec une barbe de quelques jours, habillé d’une veste de trappeur canadien qui se présente comme le directeur de la colo. Nous passons au bureau où il me rend le larcin qu’a fait le gamin et qu’il a récupéré au Bourdiou. Il me dit en me tutoyant d’emblée : tu sais, ces gamins sont difficiles, ils ont déjà commis des infractions, ils sont au Porge sous ma responsabilité pour se ressaisir. Si cela se passe mal, ils risquent de replonger et ce sera encore plus difficile pour eux. La colo se termine et c’est le premier incident. Tu as le droit de porter plainte et ce sera dramatique pour le groupe entier. Si tu ne portes pas plainte, je pourrai poursuivre leur remise sur un chemin plus droit. Je me suis alors souvenu de ce qu’avaient fait avant lui Monsieur de Pitray et Monsieur Perrenet avec les enfants des quartiers de Paris. Les conditions de vie ont considérablement changé depuis mais cette forme d’action est sûrement dans la ligne que ces hommes emploieraient peut être aujourd’hui pour aider les jeunes à s’en sortir. J’ai donc dit que je ne porterai pas plainte. Nous nous sommes quittés sur une poignée de main chaleureuse. Je ne lui ai jamais demandé ce qui s’était passé par la suite, j’espère que tout s’est bien passé pour ce jeune. J’ai encore des relations avec cette personne qui, je le pense encore aujourd’hui, incarne les valeurs du P.O. C’était dans les années 80, il me semble. Il s’appelle Philippe Beauchamps.

Mémoire du P.O, Jean-Jacques Meyre

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Cette année encore, ce Bourdiou a été dynamique et festif. Dès l’arrivée, déploiement sur les traditionnels stages du matin. Tous les stages ont été, comme d’habitude, colorés des compétences particulières des animateurs présents sur ce séjour. Entraînements carrés en tennis, badminton, basket-ball, rugby, football par (et pour) des mordus de sport, création d’une pièce de théâtre sur la semaine précédant le spectacle final, stage nature multidirectionnel (dune, prés salés, forêt), danse orientale, du cirque, de la voile, du surf, de la glisse, stage cuisine pour agrémenter la délicieuse et déjà généreuse cuisine de Joséphine ainsi que les fameuses boums hebdomadaires. Les enfants ont vite réintégré le fonctionnement bien établi du Bourdiou.

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Le système des groupes de base après le repas du midi perdure et s’instaure comme un moyen efficace de faire remonter des demandes aux adultes et au groupe, en même temps qu’il permet l’entretien et le rangement collectif des lieux communs. Cette année, encore plus que d’habitude, des activités à l’extérieur du centre ont été explorées. En plus des habituels campings d’un week-end pour les moyens et les grands, deux des veillées se sont déroulées dans une ancienne bergerie toute en bois, appelée Courtiou dans le patois local. Au programme de ces soirées : barbecue sur une grande cheminée centrale dans une ambiance feutrée de hutte de chasse dont les murs recelaient de trophées de chasse (sangliers, biches,…) et qui récompensait une randonnée de deux heures. Le séjour a aussi été ponctué d’une sortie aux dunes du Pilat, qui devient presque aussi traditionnelle que la veillée « Rentre chez toi ». C’est un moment toujours aussi apprécié par les grands comme par les petits. Les sauts, courses incontrôlables, jeux de lutte dans le sable se sont enchaînés jusque dans la soirée. Une animation a enfin été proposée dans les prés salés d’Arès et de Lège : les enfants du stage nature ont découvert la Réserve Naturelle sur fond d’enquête policière pour découvrir la faune sauvage de ce milieu. Un ancien ingénieur du Porge, Claude Courau, a aussi été mis à contribution pour faire découvrir aux enfants l’étang de Cousteau, non loin du Porge, et les méthodes des résiniers qui récoltaient la résine des pins en Gironde. Côté innovations, pour la grande veillée finale, la colonie n’a pas été en reste. Le repas s’est déroulé en pleine forêt!

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Ensuite, dans la chapelle, se sont succédé danseurs, gymnastes, acteurs en tous genres, publicité, acrobates « circassiens », musiciennes. La joyeuse troupe s’est ensuite dirigée vers la boum. En bref, un excellent séjour, qu’on entend renouveler l’année prochaine!

Marie Poulet

https://books.google.fr/books?id=57MmMX4ZsZEC&pg=PA322&lpg=PA322&dq=Pitray+bourdiou&source=bl&ots=b8kNedZBIG&sig=ACfU3U393mS6HyID8sMHhFzWt55qxgTw7g&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwi_xYmIkZ7tAhUD1BoKHV3MAKM4ChDoATAHegQIBhAC#v=onepage&q=bourdiou&f=false [18]

https://www.leparisien.fr/sports/pitray-olier-patronage-chic-et-laic-27-09-2015-5130277.php [19]

https://www.le-po.com/lieux_vie.php?id_lieu=3&activite [20]=

https://docplayer.fr/69566079-Jeunesse-sportive-et-culturelle-pitray-olier-66-rue-d-assas-paris.html [21]

https://www.le-po.com/_upload/fichiers/fichier_574.pdf [22]

Lire https://books.google.fr/books?id=57MmMX4ZsZEC&pg=PA90&lpg=PA90&dq=Pitray+porge&source=bl&ots=b8kNedZyFF&sig=ACfU3U3UntOrmUPSGJ6yFvTOHEfvLyWYlw&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwj99cbqj57tAhVjxoUKHRoXCak4HhDoATACegQIARAC#v=onepage&q=Pitray%20porge&f=false [23]

[1] [24] – « barracq » à Vendays et « braguey » au Porge signifie un enclos ; en bon gascon on dit « barrâlh » : terrain clos, mais « barraque » signifie également : clôture.

[2] [25] – Fils de Marie Amélie Elisa Dibarrat d’Etchegoyen 1842-  (mariée le 26 novembre 1860 à Léognan, avec Jean de Simard de Pitray.

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